Nombre total de pages vues

dimanche 24 avril 2011

112 - BILAN SEMAINE 12

Merci à Chris qui nous a posté cette courbe depuis le Somerset.
Ticia - 57,5kg (deux journées de diète stricte).
Cloc - 69 kg (c'est donc une perte significative).

Toutes les deux vont avoir une semaine un peu compliquée : Cloc part en vadrouille en Espagne (les bars à tapas, les paellas, et les jambons pendus partout jusqu'à chez le fleuriste !) et Ticia passe les examens pour lesquels elle n'est pas prête ... Elles s'armeront d'aides-minceur (bio !) : pour Cloc une cure Wéléda (jus de bouleau détoxifiant, gommage pour la circulation et huile minceur) et pour Ticia les ampoules Algues Laminaires et Thé Vert  (Superdiet), le bain d'algues et les Huiles Précieuses (Kashlami). Ces aides (qui n'auraient servi à pas grand chose au début du plan) peuvent maintenant s'avérer être des compléments efficaces. Ne pas oublier de boire beaucoup d'infusions (froides s'il fait chaud) !

Vu l'importance des petites pousses de graines germées, et l'alfafa en particulier (la luzerne), merci de signer la pétition pour sauver la luzerne, d'un clic sur ce lien SAUVONS LA LUZERNE .

111 - Pesticides, stop !



Nous ne voulons plus de pesticides dans notre assiette. Alors, il ne faut plus en mettre dans nos jardins ! Parlons de nos fringues ...
Les cultures du coton conventionnelles utilisent 25 % des pesticides vendus dans le monde pour seulement 2,5% de la surface agricole mondiale. C’est la culture la plus polluante de la planète.


2,5% des surfaces cultivées, mais 25% des insecticides utilisés sur la planète, jusqu’à 30 traitements par an, 1 million de personnes intoxiquées dont 22.000 morts chaque année (chiffres de l’Organisation Mondiale de la Santé) : voilà en quelques chiffres, le bilan écologique et sanitaire de la culture du coton.
Pourquoi la culture du coton est-elle la plus traitée au monde, alors que cette plante a été cultivée pendant des millénaires sans aucun apport chimique ? Aux causes habituelles de la multiplication des traitements chimiques en agriculture –monoculture, variétés sélectionnées, recherche du rendement maximum – s’ajoute le fait que nul ne s’est préoccupé de la présence d’éventuels résidus, puisque le coton n’est pas une culture alimentaire. Et peu importe si les petits paysans des pays pauvres s’intoxiquent !
Ces résidus, vont polluer l’eau des rivières dans lesquelles les industries textiles rejettent leur eaux usées. Eau qui peut-être servira à arroser les légumes que nous mangerons.
Un aspect moins connu, mais également préoccupant de la culture du coton, est celui de l’irrigation. Le coton est le troisième consommateur d’eau d’irrigation de la planète, après le riz et le blé, avant le maïs et les fruits et légumes. Il faut, selon les techniques utilisées, entre 7 000 et 29 000 litres d’eau pour produire un kilo de coton, alors que 900 litres "seulement" sont nécessaires pour un kilo de blé et 1 900 litres pour un kilo de riz. Plus de 50% du coton cultivé dans le monde est irrigué. Soulignons que l’eau est une ressource de plus en plus rare, mais pourtant essentielle à la production alimentaire de très nombreux pays.

Les consommateurs que nous sommes, commencent à comprendre que leurs actes d'achat ont des conséquences économiques et sociales qui vont au-delà de la satisfaction que  nous apporte l'utilisation du produit acheté. Notre responsabilité est d'intégrer également, en plus du prix et de la qualité du produit, des critères humains et environnementaux. Du cultivateur de coton à la boutique de vêtement, en passant par l'atelier de fabrication et le designer, comment créer des relations commerciales qui respectent les besoins économiques, sociaux et environnementaux de chacun ? C'est le défi que relève le commerce équitable dans un paysage économique dominé par la course au profit au détriment du respect de la personne humaine. De notre côté (et la on regarde notre porte-monnaie), il faut apprendre à acheter autrement : mieux et moins.
Le coton biologique possède de multiples avantages : pour le consommateur par ses qualités de douceur au toucher et ses propriétés anallergiques, pour l'agriculteur  car il évite la manipulation et l'utilisation intensive de fertilisants et de pesticides chimiques nuisibles à sa santé et à l'environnement. Les chiffres sont impressionnants : le coton cultivé de façon conventionnelle utilise 25% des insecticides consommés dans le monde et 10 % des pesticides utilisés en agriculture, tout cela pour une occupation de 2,5% environ des terres cultivées.
Il faut environ 450g de fertilisants et pesticides chimiques pour produire les 1,3 Kg de coton conventionnel nécessaires à la fabrication d'un T-shirt et d'une paire de jeans.
L'agriculture biologique maintient le sol sain et productif durablement par l'utilisation d'engrais naturels, par la rotation fréquente des cultures….Plutôt qu'éliminer tous les insectes par l'utilisation de produits chimiques, l'agriculteur biologique apprend à développer les équilibres naturels entre les insectes de différentes espèces. Ainsi les eaux en sous-sol et les rivières ne sont pas polluées par l'utilisation intensive de produits chimiques. L'équilibre naturel entre les populations d'insectes, d'oiseaux et d'autres espèces d'animaux est préservé. La qualité du sol aussi ...
Le commerce équitable vise à :
- assurer une juste rémunération de leur travail aux producteurs et travailleursdans les ateliers de fabrication, ainsi qu'à tous les intervenants de la chaîne économique. Chacun pouvant ainsi couvrir ses besoins élémentaires de nourriture, logement, santé, éducation ;
- garantir le respect des droitsfondamentaux des personnes : refus de l'exploitation des enfants, du travail forcé, de l'esclavage.

  • Teintures chimiques et autres produits d’ennoblissement : une menace pour notre santé
Les risques pour la santé sont dus à la présence dans les vêtements que nous portons de deux grandes familles de produits chimiques: les teintures et les résines.
·        Les teintures : les constituants chimiques de certaines d’entres elles peuvent provoquer des allergies. Les métaux lourds (chrome), parfois utilisés en teinture comme produits de mordançage (ainsi nommés car ils permettent à la couleur de "mordre" la fibre), peuvent également provoquer des allergies. Certains colorants azoïques peuvent par ailleurs libérer des amines aromatiques cancérogènes. Ils sont interdits en Allemagne depuis 1996, mais certains sont encore autorisés en France.
·        La formaldéhyde des résines : de très nombreux vêtements, notamment en coton et en rayonne, contiennent du formaldéhyde, pour rendre les vêtements infroissables. C’est un allergène bien connu, mais il peut avoir d’autres effets négatifs : irritations, saignements de nez, maux de tête, nausées, pertes de mémoire.

Les fibres synthétiques : matières premières non renouvelables pour des productions polluantes. Les fibres synthétiques présentent d’incontestables avantages –solidité, prix de revient peu élevé, imputrescibilité, etc. – qui expliquent leur succès. Mais leur production se fait à partir de matières premières non renouvelables, principalement le charbon et plus encore le pétrole. C’est en outre une activité très polluante. Si l'on y a recours, ce doit être en gérant sa consommation en la réduisant au maximum et en réduisant de même les impacts collatéraux.



La culture du coton consomme un quart des pesticides vendus sur la planète. Le blanchiment ou la teinture du coton exige d’utiliser des métaux lourds comme du plomb ou du chrome, tout deux toxiques… Un T-shirt made in China, consommerait en moyenne pour sa production 25 000 litres d’eau et émettrait 5,2 kg de CO2.

Vois le vent, Il n'y aura plus d'hiver C'est nouveau, Je crois c'est tombé hier.
Dans les villes, les gens s'endorment un peu Sous un soleil de plumes.
Dans les villes, Des vagabonds se pressent Et investissent toujours, Dans la laine dévaluée

Dans les villes, Des ventes s'organisent Des montagnes de pulls.
Dans les villes, Des vagues vont se presser Et investissent, et investissent Dans la laine dévaluée
Alors voilà il n'y aura plus d'hiver

Et pourquoi, c'est plus rentable on pense.

Il n'est bien sûr pas question de renouveler toute notre garde-robe en version Bio ! Mais nos cotons à démaquiller peuvent (et devraient) être choisis de cette façon ... On peut aussi décider de se nettoyer le visage avec des lingettes en microfibre (et adieu au lait démaquillant). Oui ce textile synthétique dérive du pétrole, mais on ne le jette pas (on le lave, sans assouplissant, sans lessive avec des balles de lavage). Pour manger "proprement" et pour qu'après nous nos enfants puissent le faire, il est plus que temps de commencer à vivre proprement : plus de pesticides dans son jardin, plus de produits polluants, plus de montagnes de déchets de coton polluant et assassin ...  Les TMPG continueront, mais ils seront les seuls, à se démaquiller sur la misère du monde.

L’impact négatif du textile sont les fibres difficiles à recycler, les conditions de travail des salariés, le travail des enfants et la pollution des eaux et rejets volatils. Aujourd’hui la moitié de la population active gagne moins de 1,5 € par jour… L'association Oxfam-Solidarité avait lancé une campagne Vêtement Propres en 2010 sur le thème : « Je réclame un salaire décent pour les travailleurs de l’habillement » avec notamment une vidéo étonnante  pour sensibiliser le grand public et les autorités sur l’importance d’offrir un travail décent aux travailleurs du Nord comme au Sud…



Heureusement le marché du textile bio ou éthique commence peu à peu à s’imposer. Les producteurs du coton bio et éthique respectent le salarié et l’environnement via l’interdiction de produits toxiques et de semences OGM. Certaines entreprises ont même développé de nouvelles matières écologiques à base d’algues, de soja ou de bambou ! Que ça continue !

L’objectif était de pousser les grands distributeurs et discounters à tenir compte dans leurs négociations commerciales avec leurs fournisseurs de vêtements, du respect d’un salaire minimum vital basé au moins sur le standard de l’AFW (syndicats et ONG asiatiques). Oxfam a voulu mettre les responsables belges et européens devant leurs responsabilités. En effet, pour un tee shirt vendu 20€ chez Carrefour, Aldi ou Lidl : 9,2€ sont versés pour le distributeur contre seulement 0,20 centimes pour la couturière de Chine, Bangladesh, Inde ou d’ailleurs. C’est insuffisant pour se loger, se nourrir… cette petite somme est due aux grandes surfaces qui ont quasi le monopole et impose des lois aux travailleurs du Sud et du Nord. Mais ce que font les grandes surfaces, n'est-ce pas en définitive ce que nous faisons, nous consommateurs ?


samedi 23 avril 2011

110 - Les betteraves


Elles ont désormais à leur place dans nos menus. L'extravagance de leur couleur n'a d'égale que l'unicité de leurs vertus (anti-radioactives notamment). Dans notre plan diét, un soir par semaine, elles remplacent le thon (radioactif, lui !). Un deuxième soir par semaine, elles reviennent. On peut les accompagner de poivrons jaunes, rouges, de tomates sans crainte ni des calories, ni de la déteinte rouge ... Pour plus d'infos sur la betterave, voir l'encyclopédie des aliments (colonne de droite, plus bas).
Au plus chaud de l'été, elles seront servies en soupe froide (avec un peu de crème, elles mettent un rose merveilleux dans les assiettes), en entrée glacée mais aussi comme dessert (mélangée à d'autres purées de fruits rouges) en sorbet sucré au sirop d'agave : un vrai dessert-santé ! Et incroyablement joli ...

jeudi 21 avril 2011

109 - Pains d'épeautre à la tomate séchée


Recette habituelle de nos petits pains Bio "faits maison" : 500g de farine d'épeautre T150 (celui broyé à la meule de pierre, parce qu'il respecte mieux les nutriments en ne les "chauffant" pas, est parfait !), 10 g de sel gris de mer, 25g de levain d'épeautre, 300g d'eau à peine tiède, 50g de graines de tournesol, et 20g de tomates Bio simplement séchées au soleil (on les trouve en petits sachets de 100g) qu'il faut couper en menus morceaux. Tout ça lève en boule pendant 30 minutes, puis en dix petits pains pendant 60 à 90 minutes, et ça cuit au four préchauffé à 220°C pendant 18 minutes. C'est simple !

Peut être un peu trop, les tomates séchées au petit déjeuner ? Il suffit de prévoir une fournée d'épeautre "nature".

108 - Pains au petit épeautre et au romarin


L'épeautre permet de "brûler" des graisses plus que le blé. Ce petit épeautre de Haute-Provence offre un délicieux parfum du Midi qui est encore accru par 5g de romarin séché Bio pour 500g de farine. La recette est la même : pour 500g de farine, 10g de sel, 25g de levain d'épeautre Bio, 300g d'eau à peine tiède, 50g de graines de tournesol Bio. Une première pause de 30 minutes en boule. Puis on façonne les 10 petits pains et on laisse encore lever entre 60 et 90 minutes. Enfin on enfourne à four préchauffé à 220°C pour 18 minutes. C'est tout !

Un jour de diète stricte, avec un morceau de fromage bio de brebis, et quelques pousses de graines germées (ici, fénugrec et radis et ...) c'est un régal ! Aussi bien pour le goût, pour la vue, pour l'odorat que pour l'ouïe : on croirait entendre chanter les cigalous de Provence ...

mercredi 20 avril 2011

107 - Algues et levure de bière


Pour nous humains soumis à la radioactivité ambiante. Quotidiennement, la levure. Hebdomadairement les algues, si on habite au bord de la mer et que l'on respire un air déjà bien iodé. A Bordeaux, Djé - le chat qui a un goût très marqué pour les croquettes Bio Carrefour au poulet et à la tomate, la nourriture en boîte non processée Almonature et particulièrement le "poulet-potiron", mais qui en revanche (avec beaucoup de bon sens), refuse de manger du boeuf (mais non de lécher la sauce ...) - s'est montré particulièrement intéressé par nos récents achats d'algues et de levure. Intéressé, c'est peu dire. Lui qui n'avait jamais fait cela auparavant, s'est mis à ouvrir le tiroir contenant ces deux produits. Oui ! Avec force frottements et miaou miaou les plus passionnés. Du coup, il a droit tous les jours à une (toute petite) pincée d'algues sur son repas du soir et à une pincée de levure sur ses croquettes. Il est content ! Il est content aussi de boire, très souvent, l'eau osmosée de sa fontaine ... Rappel : Ne pas oublier de boire nos trois thermos d'infusion par jour (s'il fait chaud, on la boit froide !) soit 1,5L d'eau !

mardi 19 avril 2011

106 - Muffins bio


Et oui, la pâtisserie fait son entrée dans notre plan diét ! On vous avait bien dit qu'on voulait maigrir en restant gourmandes ... Mais pas n'importe quelle pâtisserie : on exclut celle du commerce, industrielle, celle qui n'est pas bio (donc pas vraie et empoisonnée), celle qui est trop grasse, trop sucrée, trop hormonée, trop phosphatée ... bref ! La pâtisserie diététique, oui, ça existe et c'est délicieux ! Ici les muffins, version diét. Pour Cloc et Ticia, ils seront aux pruneaux (ben oui, plan diét oblige à faciliter le transit) pour le reste de la tablée, ils seront aussi aux pruneaux ou encore au chocolat, aux fruits rouges, à la pistache, aux morceaux de pomme caramélisés, à divers fruits secs ou frais, déclinés selon bien des variantes. Il faut 2 moules à faire chacun 6 muffins. Ces pâtisseries se congèlent très bien, emballées individuellement dans du papier-aluminium. Pour les dégeler, les sortir la veille au soir pour le lendemain (en les laissant dans leur emballage alu).
La pâte est toujours la même, avec des ingrédients bio : 100g de farine de maïs, 200g de farine de blé T65, 150g de sucre en poudre non raffiné, 1 pincée de sel, 1,5 sachet de levure bio sans phosphates, 2 oeufs, 40cl de lait d'amandes, 80g de beurre fondu. On mélange tout ça. Ensuite, on peut (ou pas) diviser la pâte pour autant de parfums voulus (par exemple en trois, comme sur les photos ci-dessous) :
- de la poudre d'écorce d'orange incorporée dans le tiers de la pâte et 1,5 pruneaux dénoyautés enfoncé dans chacun des 4 muffins
- 20 g de cacao en poudre dans le tiers de la pâte et 8 carrés de chocolat noir à enfoncer entiers dans 4 muffins
- 200g de fruits rouges frais incorporés à la pâte pour les 4 derniers muffins
- etc ...
Les muffins doivent cuire 20 minutes dans le four préchauffé à 200°C et se dégustent aussi bien tièdes que froids, nature ou avec de la compote, de la marmelade, une crème, un yaourt,une boule de glace,  etc, en goûter ou en dessert ...  


lundi 18 avril 2011

105 - Chocolats de Pâques


Ils sont Bio, sans phosphates ajoutés, ni hormones cachées, ni conservateurs, ni aromes artificiels, ni mauvaises graisses, ni sucre sans intérêt nutritif ... Ce sont des chocolats Faits Maison ! Les petites boîtes "Bonheur" en forme de coeur (dénichées aux Maisons du Monde) abritent parfaitement ces pralinés-noisette, citron-cardamome, cannelle-orange sanguine, fleurs d'hibiscus-pamplemousse rose et pétales de rose-clémentine. Leur couvercle permet de loger aisément le petit présentoire. Agrumes, épices et fleurs, parfums, saveurs, couleurs ... que du bonheur ! Happy Easter ! Bonnes Pâques avant l'heure, à tous ! Dimanche sera une divine journée chocolats-café (mais privées de dessert, tant pis). Quant aux chocolats, permis à Pâques (raisonnablement), nous allons devoir ensuite les remballer, les évacuer hors de pensée et de portée, et les ranger à l'abri de la chaleur, de la lumière, du regard et de la tentation : dans une boîte au frigo. Ils en ressortiront bien volontiers pour accompagner d'autres cafés, dans quelques semaines !

104 - Pépère au radis noir


Selon nos bonnes vieilles habitudes - elles ont fait leurs preuve-, nous sommes fidèles à notre sandwich au poivron bio et cru ("pepper" en anglais, francisé avec sympathie en "pépère" ...) pour un déjeuner sain et sobre, avec un petit pain bio complet fait maison. Les atouts santé de notre déjeuner sont augmentés par l'apport des petites graines de tournesol dans le pain et par quelques rondelles de radis noir venant accompagner le poivron.
Les vertus détox du radis noir lui avaient déjà valu l'honneur d'ouvrir notre plan diét par une cure en ampoules bio. Ses vertus anti-radioctivité lui assure désormais une place dans notre menu quotidien. Au Moyen Âge, c’était le légume-racine le plus commun dans le nord de l’Europe et en Angleterre, on lui prêtait déjà de nombreuses vertus médicinales. On trouvera plus d'infos sur le radis noir dans l'encyclopédie des aliments (cliquer sur l'image correspondante, un peu plus bas, colonne de droite).
Comme le poivron, il présente l'avantage de ne pas "mouiller" notre sandwich préparé à l'avance. Il se garde au frigo (de préférence emballé dans un film plastique, une fois lavé et bien séché). On le choisit bio, naturellement, d'autant qu'on le consomme avec la peau (mais sans les radicules !) et comme un joli radis noir par semaine est bien suffisant pour deux personnes, on n'en achète qu'un à la fois (en épierie bio où on le trouve pour environ 74 centimes en ce moment, en fonction de sa taille). A savoir : plus il est gros et plus il est piquant. Haché menu, cru, il accompagne aussi très bien le riz ou la semoule de couscous ! Râpé cru, il est délicieux sur une assiette de pâtes. Et en bâtonnets à l'apéritif, sa blancheur immaculée allongée dans sa belle robe noire, il n'est rien de moins qu'époustoufflant ! Il faut ne faut pas hésiter à user et abuser de cet aliment-allié (du foie surtout, mais pas seulement), d'autant qu'une portion de 30g ne représente que 5 calories ... En photo, le sandwich "stendalien", rouge et noir, de Lucie : poivron rouge et 12 grammes de radis noir.

dimanche 17 avril 2011

103 - BILAN SEMAINE 11


Ticia - 58,3kg donc exactement un kilo perdu pendant cette semaine pourtant dévolue à la préparation des chocolats de Pâques. Explication : deux journées de diète stricte (voir Billet 102).
Cloc - 69,5kg donc 700g perdus en suivant consciencieusement son plan dièt. C'est très bien ! Mais Cloc aussi va faire des chocolats ... en s'imposant peut-être une journée "assiette vide" (+ une journée de "reprise", voir Billet 102) ?
Toutes les deux sont bien dans leur assiette : c'est chouette le printemps en minceur !  Un bon bilan hebdo. Leurs courbes d'objectifs attendent Ticia à 58kg la semaine prochaine (elle a un peu d'avance) et Cloc à 68,4kg (ici, c'est un petit retard). A suivre ...

102 - Diète stricte "Assiette Vide"


La journée "Assiette Vide" s'approche du jeûne proné par de nombreuses doctrines, tant alimentaires que spirituelles. Ce n'est PAS une étape obligatoire de notre plan diét. Et si elle est pratiquée, c'est volontairement, à un moment bref (maximum trois jours) et précis, pour compenser un excès alimentaire ponctuel.
Loin du jeûne mortifère, c'est un jeûne aménagé pour éviter les carences :
- au petit déjeuner, le couvert est mis avec une tasse, deux petites cuillères (1 et 2) et un couteau : une boisson chaude, un yaourt de brebis bio dont on prélève une cuillère "nature" (1), dans l'espace ainsi laissé on ajoute une petite cuillère (2) de pollen bio (au congélateur) puis une même cuillère de miel bio foncé. On complète avec deux kiwis bio. Et une pomme (bio, avec sa peau).
- 500 ml d'infusion drainante, dans la matinée.
- Le déjeuner consiste en 2 pommes bio, toujours avec la peau.
- L'après-midi, on se contente d'1 L d'infusion (oui, il faut boire plus que d'habitude et éviter le café).
- Le dîner sera frugal, composé d'un petit pain complet bio, avec un morceau de fromage de chèvre, d'un kiwi et d'une pomme.
- En soirée, 500ml d'infusion apaisante.

Le calcium (yaourt, fromage) favorise la perte de poids. La vitamine C (dans les kiwis)optimise l'assimilation du calcium, et nous maintient en forme. Le miel nous apporte son énergie réconfortante et le pollen, ce super-aliment, garantit d'excellentes conditions à notre métabolisme. Les pommes donnent une sensation de satiété (tout comme le pain du soir). Les infusions (= 2 litres d'eau), permettent un bon niveau d'hydratation, le déstockage des métabolites et l'élimination, favorisant la perte de poids.

Il ne s'agit donc pas véritablement d'un jeûne, mais plutôt d'un ré-équilibrage par l'abstinence partielle. Et en effet, le sentiment d'abstinence (sentiment plus que sensation) est assez fort : il faut donc occuper son esprit et son temps lorsqu'on pratique une, deux ou trois journées "assiette vide".
Cela doit être suivi par une journée de transition avant la reprise de notre plan diét normal. On recommence par une journée yaourt/kiwis/pomme le matin- sandwich au poivron le midi- sandwich au chèvre le soir. Puis on reprend le plan habituel. La perte de poids est assurée. La formule est sans carence (notamment grâce aux produits de la ruche) mais le sentiment de frustration qu'engendre "l'assiette vide" et la discipline que cela nécessite, obligent à limiter ce recours à des situations très ponctuelles. Cette technique privative ne peut en aucun cas constituer un "régime" sur du long terme.

Photos prises par Ticia, sur le Cours de l'Intendance (Bordeaux) le 13 mars 2010

dimanche 10 avril 2011

101 - BILAN SEMAINE 10


Ticia - 59,3 kg ce matin. Donc 300g de moins que la semaine dernière. Cela peut sembler peu, mais le taux de graisse n'est plus que de 28% (contre 35% au début du plan !), ce qui implique non seulement le maintien de la masse musculaire mais mieux encore, son renforcement. Ce fait signe la qualité de notre plan diét -et sa priorité santé- : le gras (plus léger que le muscle) disparaît, mais sur la balance cette perte est "atténuée" par le gain en muscle. Ce supplément de musculature acquis naturellement et simplement en marchant plus (et non pas en faisant du jogging ou de la gonflette ! ! ) est une bonne garantie contre la reprise de poids en influançant positivement le métabolisme (plus la masse musculaire est importante, plus on brûle de calories pour la faire fonctionner).
Cloc - 70,2kg comme la semaine dernière. Avec un mari restaurateur qui lui propose du "cari de bringel" puis une crème brûlée bien riche et une réception d'amis à qui elle a préparé un "canard à la vanille" (la viande de canard est grasse, à moins que ce soit du canard bio ou mieux du canard sauvage), ce sont deux évènements - l'un structurel, l'autre ponctuel- qui ont contrarié la perte de poids cette semaine ... et qui sont aussi instructifs sur la façon d'en perdre !
Pour l'une et pour l'autre, il est possible que leur plan diét se poursuive un mois de plus (jusque fin juin), en fonction de leur rythme d'amaigrissement. Ceci d'autant plus que la nouvelle orientation spécifique "anti-radioactivité" de ce plan augmente un peu les apports caloriques (cf. Billet 100) : c'est la santé qui prédomine.

100 - La cuisine anti-radiations



Brève récapitualation pour une cuisine qui protège des effets de la radioactivité:
- Nos petits pains-maison, à la farine complète bio, contiennent désormais des graines de tournesol bio (5g par petit pain). Idéalement, on complète le poivron par deux ou trois rondelles de radis noir bio (bien lavé et essuyé, avec toute sa peau !).
- Notre yaourt de brebis, sucré avec un miel Bio et foncé, est augmenté d'une cuillère à café de pollen Bio.
- Notre assiette de pâtes, de riz, de semoule de couscous (toujours "complets"), d'épeautre ou de quinoa est arrosée d'une cuillère à soupe de levure de bière.
- Le thon, la rougaille de tomates, les courgettes bio, sont complétés d'une demi-cuillère à café de mélange d'algues.
- Avec les graines habituelles (menu du vendredi soir), on prépare une petite salade crue à base de betteraves bio (ex : betterave, poivron jaune et/ou rouge et oignon, vinaigre de vin bio, algues ...).  Cette salade de betteraves peut éventuellement remplacer le thon, supprimé une fois sur deux (on met alors le citron bio cru comme prévu).
- Et bien sûr, notre pomme bio quotidienne ! (tout comme le radis noir, la pomme peut volontiers entrer dans nos petites salades). Une compote de pomme maison peut remplacer une fois sur deux le yaourt de brebis (ce qui permet de supprimer un produit laitier -cf taux de radioactivité très élevé de cette famille d'aliments, dans le Billet 96 consacré à la radioactivité). On ajoute sur la compote une petite cuillère de pollen (et si envie de sucre, un peu de sirop d'agave bio). Le miel prévu avec le yaourt remplace dans ce cas le beurre du matin (ce qui permet de supprimer un deuxième produit laitier).
Car s'il faut se protéger de la radioactivité ingérée, le mieux, le plus sûr et le plus efficace est encore de limiter les ingestions néfastes (produits animaux, viande, poisson et produits laitiers ...).

dimanche 3 avril 2011

99 - BILAN SEMAINE 9


Ticia - 59,6 kg cette semaine, soient 400g de perdus.
Cloc -  70,2 kg cette semaine, soient 400g de perdus.
Toutes les deux : elles copient ! ! !
Il est à noter que, une fois franchi le cap des 60kg, Ticia a réduit sa ration alimentaire pour continuer à perdre du poids. Le pain est divisé par 2 et les féculents du soir diminués de 80 à 60g. Fruits et légumes, en revanche, sont un peu augmentés : jusqu'à 2 pommes, 2 oranges, 2 kiwis, betteraves, poivrons ...  il n'est pas possible de copier le menu de l'une sur celui de l'autre indéfiniment.